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Membre désinscrit
délicat mais pourtant de bon sens ...

très etonnant qu'on en ai pas parlé plus tôt
Lex
Ah Titono... sujet bien délicat... bien délicat...
Membre désinscrit
lol amaury ! au fait, je suis étonné de n'avoir trouvé que ce forum ...

Il n'y a meme pas de lien à partir du site national ... c'est quand meme primordial d'en avoir un qui puisse lier et centraliser les sympathisants de notre mouvement ...
Un forum d'echange et de reflexion devrait être creée et mentionné sur le site national ...
amaury
Jimmy a écrit :

En meme temps entre le site du fig et celui de libe, mon choix est vite fait...

ne soit pas sectaire te ne condamne pas trop vite ma lecture quotidienne.
Membre désinscrit
C'est clair et de toute façon, nous à l'UVSQ, ont reçoit tous les matins le Figaro (preuve que la fac n'est pas entiemerent fondu dans la politique gauchiste) ...

Ya les cocos qui ont essayés plusieurs fois de le remplacer par l'Huma mais comme peu de monde le prenait ... haha
Jimmy
En meme temps entre le site du fig et celui de libe, mon choix est vite fait...
Membre désinscrit
merci Jimmy pour cet article.

ça permet de se tenir au courant ! et de plus bravo pour le choix du journal c'est un des meilleurs je pense
Jimmy
Barroso s'entoure de cinq vice-présidents

(AFP.)
[13 août 2004]


Le président désigné de la Commission européenne, José Manuel Durao Barroso, a présenté hier son équipe, restructurée autour de cinq vice-présidences contre deux seulement dans la Commission sortante. Son équipe de 24 membres doit entrer en fonction le 1er novembre, après l'aval du Parlement européen en octobre.


Donnant la «première priorité» aux réformes économiques, M. Barroso présidera en personne le «groupe des commissaires sur la stratégie de Lisbonne», qui vise à faire de l'UE la région la plus compétitive au monde en 2010. Il présidera aussi un autre groupe de commissaires en charge de toute la panoplie des relations extérieures. «C'est l'antithèse de la situation actuelle où le président (Romano Prodi) n'a aucun contrôle sur ce qui se passe autour de lui», explique une source communautaire. Le nouveau président a d'ailleurs indiqué qu'il comptait «superviser personnellement» les progrès sur ce dossier, très en retard.


Le profil du futur exécutif apparaît aussi soucieux de communiquer. «Je veux mettre la Commission au poste de pilotage d'une Europe qui profite à ses citoyens. Les gens ont le droit de savoir et de comprendre ce que fait l'UE et pourquoi», a expliqué M. Barroso. Rappelant «l'apathie préoccupante» manifestée par les électeurs lors des élections européennes de juin dernier, le président désigné a souligné que la nouvelle Commission «est conçue pour obtenir des résultats visibles aux yeux des citoyens» et «mieux faire entendre la voix de l'Europe dans le monde».


L'une des innovations majeures est la création d'une sorte de première vice-présidence, confiée à la Suédoise Margot Wallstroem, commissaire à l'Environnement dans la Commission sortante, qui sera chargée de «la Stratégie de communication» de Bruxelles. Travaillant étroitement avec M. Barroso, dont elle sera seule à pouvoir assurer l'intérim, elle apparaît d'ores et déjà comme le «spin doctor» (expert en communication) du futur exécutif.


Dans la répartition des postes qui comptent le plus dans le fonctionnement pratique de l'économie européenne, les petits pays à tendance libérale apparaissent comme les vrais gagnants. La concurrence, seul domaine où la Commission exerce un véritable pouvoir régalien, échoit ainsi à l'ancienne ministre libérale des Pays-Bas, Neelie Kroes-Smit, qui succédera à l'Italien Mario Monti.

Quant au marché intérieur, où de grandes avancées sont encore à venir notamment dans le secteur des services financiers, il revient au ministre irlandais des Finances Charlie McCreevy, alors que la Lettone Ingrida Udre prendra en charge Taxation et Union douanière. Selon un expert, «les petits pays auront un pouvoir considérable».


L'équipe économique est complétée au Commerce par le Britannique Peter Mandelson, un fidèle de Tony Blair, qui devrait poursuivre la politique d'ouverture du Français Pascal Lamy, et le maintien aux Affaires économiques et monétaires de l'Espagnol Joaquin Almunia.

Certes, M. Barroso a confié une des cinq vice-présidences à l'Allemand Günther Verheugen, chargé de l'élargissement dans la Commission Prodi, avec le portefeuille de l'Entreprise et de l'Industrie et le mandat de renforcer la compétitivité européenne. Ce n'est cependant pas le poste de «supercommissaire» en charge des affaires économiques que réclamait Berlin pour son représentant à la Commission.


La désignation de M. Verheugen comme «M. Compétitivité» a d'ailleurs provoqué un commentaire acide d'Ann Metler, directrice du Lisbon Council, un réseau d'associations appuyant la stratégie de Lisbonne. «M. Verheugen devra travailler dur pour prouver qu'il n'est pas le caniche mandaté par le gouvernement allemand pour protéger ses intérêts industriels et édifier des champions nationaux avec des aides d'Etat et d'autres protections», a-t-elle dit.

La France, à qui on prêtait des vues sur la concurrence ou le marché intérieur, devra se contenter des transports, assortis d'une vice-présidence pour Jacques Barrot, mais sans mission horizontale spécifiée.


L'Italien Rocco Buttiglione hérite du poste de «Justice, Liberté et Sécurité», anciennement Justice et Affaires intérieures. La Polonaise Danuta Hübner sera chargée de la Politique régionale, et l'Agriculture, amputée de la pêche, est confiée à la Danoise Mariann Fischer Boel. L'ancien chef de la diplomatie belge Louis Michel décroche quant à lui la Coopération et le Développement.

Enfin, les Relations extérieures sont attribuées à la ministre des Affaires étrangères d'Autriche, Benita Ferrero-Waldner, en attendant l'arrivée éventuelle, si la nouvelle Constitution européenne est ratifiée, de Javier Solana comme ministre des Affaires étrangères de l'Union. «Tous les commissaires jouiront exactement des mêmes pouvoirs», a promis M. Barroso qui ne veut pas de «commissaires de premier et de second rang».




Les 24 commissaires

[13 août 2004]


Portugal : José Manuel Barroso, président.

Allemagne : Guenther Verheugen, vice-président, Entreprise et Industrie.

Estonie : Siim Kallas, vice-président, Affaires administratives, Audit et lutte antifraude.


France : Jacques Barrot, vice-président, Transport.

Italie : Rocco Buttiglione, vice-président, Justice, Liberté, Sécurité.

Suède : Margot Wallstroem, vice-présidente, Relations institutionnelles et Stratégie de communication.


Autriche : Benita Ferrero-Waldner, Relations extérieures et Politique de voisinage européen.

Belgique : Louis Michel, Développement et Aide humanitaire.

Chypre : Marcos Kyprianou, Santé et Protection des consommateurs.


Danemark : Mariann Fischer Boel, Agriculture et Développement rural.

Espagne : Joaquin Almunia, Affaires économiques et monétaires.

Finlande : Olli Rehn, Elargissement.

Grande-Bretagne : Peter Mandelson, Commerce.


Grèce : Stravros Dimas, Environnement.

Hongrie : Laszlo Kovacs, Energie.

Irlande : Charlie McCreevy, Marché intérieur et Services.

Lettonie : Ingrida Udre, Taxation et Union douanière.


Lituanie : Dalia Grybauskaité, Programmation financière et Budget.

Luxembourg : Viviane Reding, Société de l'information et Médias.

Malte : Joe Borg, Pêche et Affaires maritimes.

Pays-Bas : Neelie Kroes, Concurrence.


Pologne : Danuta Huebner, Politique régionale.

République tchèque : Vladimir Spidla, Emploi, Affaires sociales et Egalité des chances.

Slovaquie : Jan Figel, Education, Formation, Culture et Multilinguisme.


Slovénie : Janez Potocnik, Sciences et Recherche.




(source: www.lefigaro.fr )
Membre désinscrit
*a voté*
Je trouve que le score de l'UDEF doit être pris en compte par l'UMP car Bayrou devient un parti important qu'il ne faut pas trop négliger ...

A part ça, l'Europe en elle même ne peut pas être Sociale ou Libérale ...
Le mix des deux semble la meilleur solution

(dsl si je suis plus trop ds le sujet des derniers messages car la encore j'ai pas pris le temps de tout lire en détails)
amaury
no comment, ca vaudra mieux
 
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